Un perroquet met en fuite des cambrioleurs à Londres(30/07/2010)
Un anglais atteint de surdité à été sauvé d'un incendie par un...perroquet !
L'oiseau a réveillé son maître en courant sur ses jambes,car ayant enlevé ses prothèses auditives avant d'aller se coucher,il n'avait pas entendu l'alarme d'incendie ( 31/03/2006).
Les perroquets peuvent être très bruyants et fatigants,mais ils sont parfois très utiles...
Alors qu'un incendie se propageait dans la maison située à Mirfield,dans le nord de l'Angleterre, Merlin,un
perroquet gris d'Afrique à sauvé son propriétaire d'une mort certaine en courant à toutes jambes.
L'homme n'avait pas entendu l'alarme retentissante,car il avait enlevé ses prothèses auditives avant de s'endormir.
Le fidèle bec-crochu a aussi appris à recréer le son de l'alarme d'incendie,ce qui provoque des situations
cocasses lorsque son maître se mijote de bons petits plats.
"Parfois quand je cuisine et qu'il y a beaucoup de fumée,il reproduit le son de l'alarme jusqu'à ce que je
lui assure qu'il n'y a pas le feu dans la maison",à déclaré l'homme à la BBC.
Depuis ce Monsieur s'est équipé d'une alarme spécifique pour les sourds (mal-entendants),fournie par le
West Yorkshire Fire and Rescue.
Ce nouvel équipement inclus des rayons de lumières et de vibrations dans toute la maison,en plus de l'alarme traditionnelle.
La jolie histoire de Willie !
Willie n’avait jamais dit le mot bébé », souligne Meagan Hoard, photographiée avec la petite Hannah et le perroquet héroïque.
Voici une histoire parue dans le Reader’s Digest , dans la chronique Héros de compagnie .
Voici l’histoire :
Comme beaucoup de perroquets, Willie a la langue bien pendue. Il sait dire « Donne-moi un baiser », « Viens ici » et « Je veux sortir ». Mais ce qui le distingue de ses congénères, c’est son histoire : en ajoutant spontanément un nouveau mot à son vocabulaire, il a sauvé une vie.
Un matin de novembre 2008, sa maîtresse Meagan Howard, 19 ans, propose à sa colocataire, Samantha Kuusk, de garder Hannah, sa petite fille de deux ans. « Celle-ci n’avait pas l’air dans son assiette. J’ai pensé qu’elle serait mieux avec moi qu’à la garderie. »
L’appartement de Denver, au Colorado, est chaud et lumineux. Et Willie, le perroquet met de l’ambiance en vaquant à ses occupations dans sa cage. Samantha, 22 ans, part suivre ses cours à l’école vétérinaire. Meagan fait griller une Pop-Tart pour Hannah et la met sur la table. Mais elle est encore trop chaude, et la petite fille trottine avec sa gâterie vers le salon pour regarder la télévision. Comme elle a l’air tranquille, Meagan s’éclipse vers la salle de bains.
Quelques secondes plus tard, Willie se met à hurler dans sa cage, raconte-t-elle. « Il battait des ailes et criait d’une voix perçante : « Maman, bébé ! Maman, bébé ! »
Meagan se précipite et voit Hannah en train de s’étouffer avec sa tarte, le visage déjà bleu. Willie continue à crier. Meagan pratique la manœuvre de Heimlich pour déloger la nourriture des voies respiratoires de l’enfant.
« Dès que j’ai eu la situation en main, dit-elle, Willie s’est calmé, comme s’il avait deviné que le danger était passé. Il est clair qu’en m’appelant maman, il avait voulu attirer mon attention. Mais ce qui m’a renversée, c’est qu’il a ajouté spontanément le mot bébé. »
En rentrant un peu plus tard, Samantha trouve sa fille en train de jouer.
« Je préfère ne pas penser à ce qui serait arrivé si Willie n’avait pas donné l’alarme », confie-t-elle aujourd’hui.
Maintenant, Hannah est aux petits soins avec l’oiseau.
« La première chose qu’elle nous demande le matin, c’est de découvrir sa cage, dit sa mère. Et dès qu’elle rentre de la garderie l’après-midi, elle court vers lui. C’est Willie par ci, Willie par là : il est devenu le centre de son petit monde. »
Superbe histoire !